Saturday, September 4, 2010
Georg Riedel
Hej Georg! Tack för fina låtar, eller dekyje (blef det rätt nu?) som man säger i Karlsbad!
Skulle du eller ngn i fam. taga dopet, säg till, det vill jag intet missa, under tiden Schabbes Tov!
Thursday, September 2, 2010
Et si quelque pauvre sot croit que c'est par magie que je compose, citons S. Thomas sur la magie:
Contra Gentiles, Livre III, Ch. CV, la fin:
Les signes sur une partition ou sur une tablature par contre, s'adressent normalement à des intelligences humaines, celles qui doivent ou veulent exécuter les compositions.
Comme pas mal d'autres signes, leur signification est à la fois concrète, comme quand on pronence un A ou un U ou un S, et grammaticale, comme quand on sait que A finit un nominatif ou vocatif singulier de certaines noms féminins, ou nominatif, vocatif ou accusatif pluriel des noms neutres, ou que si on le prolonge il signifie l'ablatif singulier des même noms féminins, mais pas des neutres pluriels. Item que US est la fin de pas mal des noms masculins en nominatif singulier, ou d'autres mots neutres en nominatif, vocatif et accusatif singulier. Et qu'il y a des noms masculins qui finissent comme des féminins, comme NAUTA (marin) et des féminins qui finissent comme les masculins, comme POPULUS (peuplier, les arbres sont féminins en latin).
Un LA, pour moi c'est le signe qui s'écrit en dessous de la ligne moyenne d'une portée en clef de G, ainsi que ses octaves au dessus ou en dessous, c'est le son dont la fréquence est 440 Hz selon certains, 432 Hz selon d'autres, ainsi que les fréquences doubles ou quadruples et c et les fréquences moitié, quart, et c. C'est aussi le son que j'entends comme dernière note d'une mélodie en quelque mode de LA, par exemple l'éolique "Six Ribbons" (voir Jon English) où c'est également la deuxième note (la première en est le MI car la mélodie commence avec une quarte).
C'est la note que sur une guitare bien accordée je trouve la cinquième frette sur la chorde la plus aigue, mais il y a deux autres la, sur la deuxième frette de la chorde de sol, sur la chorde la deuxième plus sombre sans frette.
C'est aussi la note que sur une piano bien accordée je trouve en partant de l'UT au milieu (une taste blanche) en passant par noir-blanc-noir-BLANC-BLANC-noir-blanc-noir à la prochaine BLANCHE. C'est aussi l'octave d'un la en dessous, la septième mineure d'un si, la sixte majeure d'un ut, la quinte majeure d'un ré, la quarte mineure d'un mi, la tierce majeure d'un fa, le ton au dessus d'un sol, si on se tient aux tastes blanches. Les noirs n'ont pas de noms propres, ils sont regardés comme variantes des notes que j'énumère, et si la note en dessous est haussé ou celle au dessus est baissé, mais pas les deux, un intervalle majeure devient mineur, et inversément dans les cas inverses.*
Ce qui devrait suffir pour prouver que mes partitions viennent de mes considérations et s'adressent aux musiciens, et ne viennent pas des démons ni ne s'adressent à eux non plus.
Mais si quelqu'un trouve mes compositions nulles, il est libre à ne pas les jouer. Tant qu'il n'empêche pas d'autres, avec un autre goût, de les jouer.
Les démons n'agissent pas seulement par magie, mais aussi en incitant à la calomnie. BASTA!
Hans-Georg Lundahl
In Pompidolianâ Bibliothecâ
Lutetiæ Parisiorum
2/IX/2010
*Le ton a le demi-ton comme intervalle mineure, le demi-ton donc le ton comme intervalle majeure.
Mais de ces lettres qui composent les inscriptions des images, comme des autres caractères, on ne peut rien dire, sinon qu'elles sont des signes. Par conséquent elles n'ont de sens qu'à l'adresse d'une intelligence. Les sacrifices, les prostrations et autres rites analogues prouvent la même chose; ils sont des signes de révérence à l'endroit de quelque nature spirituelle.
Les signes sur une partition ou sur une tablature par contre, s'adressent normalement à des intelligences humaines, celles qui doivent ou veulent exécuter les compositions.
Comme pas mal d'autres signes, leur signification est à la fois concrète, comme quand on pronence un A ou un U ou un S, et grammaticale, comme quand on sait que A finit un nominatif ou vocatif singulier de certaines noms féminins, ou nominatif, vocatif ou accusatif pluriel des noms neutres, ou que si on le prolonge il signifie l'ablatif singulier des même noms féminins, mais pas des neutres pluriels. Item que US est la fin de pas mal des noms masculins en nominatif singulier, ou d'autres mots neutres en nominatif, vocatif et accusatif singulier. Et qu'il y a des noms masculins qui finissent comme des féminins, comme NAUTA (marin) et des féminins qui finissent comme les masculins, comme POPULUS (peuplier, les arbres sont féminins en latin).
Un LA, pour moi c'est le signe qui s'écrit en dessous de la ligne moyenne d'une portée en clef de G, ainsi que ses octaves au dessus ou en dessous, c'est le son dont la fréquence est 440 Hz selon certains, 432 Hz selon d'autres, ainsi que les fréquences doubles ou quadruples et c et les fréquences moitié, quart, et c. C'est aussi le son que j'entends comme dernière note d'une mélodie en quelque mode de LA, par exemple l'éolique "Six Ribbons" (voir Jon English) où c'est également la deuxième note (la première en est le MI car la mélodie commence avec une quarte).
C'est la note que sur une guitare bien accordée je trouve la cinquième frette sur la chorde la plus aigue, mais il y a deux autres la, sur la deuxième frette de la chorde de sol, sur la chorde la deuxième plus sombre sans frette.
C'est aussi la note que sur une piano bien accordée je trouve en partant de l'UT au milieu (une taste blanche) en passant par noir-blanc-noir-BLANC-BLANC-noir-blanc-noir à la prochaine BLANCHE. C'est aussi l'octave d'un la en dessous, la septième mineure d'un si, la sixte majeure d'un ut, la quinte majeure d'un ré, la quarte mineure d'un mi, la tierce majeure d'un fa, le ton au dessus d'un sol, si on se tient aux tastes blanches. Les noirs n'ont pas de noms propres, ils sont regardés comme variantes des notes que j'énumère, et si la note en dessous est haussé ou celle au dessus est baissé, mais pas les deux, un intervalle majeure devient mineur, et inversément dans les cas inverses.*
Ce qui devrait suffir pour prouver que mes partitions viennent de mes considérations et s'adressent aux musiciens, et ne viennent pas des démons ni ne s'adressent à eux non plus.
Mais si quelqu'un trouve mes compositions nulles, il est libre à ne pas les jouer. Tant qu'il n'empêche pas d'autres, avec un autre goût, de les jouer.
Les démons n'agissent pas seulement par magie, mais aussi en incitant à la calomnie. BASTA!
Hans-Georg Lundahl
In Pompidolianâ Bibliothecâ
Lutetiæ Parisiorum
2/IX/2010
*Le ton a le demi-ton comme intervalle mineure, le demi-ton donc le ton comme intervalle majeure.
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