Mon œuvre peut être utilisée pour se nourrir et accessoirement pour me nourrir. Elle peut aussi être utilisée pour soutenir une bonne cause.
Voir conditions.
Une bonne cause est par exemple les achats alimentaires ou vestimentaires de la Croix Rouge (je préfère ne pas être impliqué dans les achats de "cet objet odiable vendu en automates devant les pharmacies" - finalement je préfère comme sexe les rélations où cet objet n'a aucune raison d'être, c à d le mariage hétérosexuel).
Une bonne cause est par exemple gagner de quoi loger les nuits Zohra et Hamid dans les auberges de jeunesse, à défaut de les loger chez les sympatiseurs sur sofas, ou encore d'avancer à un marin camérounais les salaires détenus par son capitaine (merci pour me les avoir rappelé, PRÉSENT!).
Une bonne cause est le plantage d'un arbre où l'on souahite finir avec la désertification. Où le soutien donné en des hôpitaux également aux enfants Israëli et Palestiniens, là bas dans la Terre Sainte.
Une bonne cause est ... une bonne cause quoi! Sauf quand il s'agit d'une mauvaise cause. Comme déjà noté, mes compositions ne sont pas là pour aider à faire la quête pour que Messieurs Axel Kahn et Marc Peschanski puissent faire leurs récherches, celui-là sur des cellules souches d'embrya humains , celui-ci sur les neurones des avortés. Les crimes contre l'humanité, style Dr Mengele (s'il a vraiment fait tout lui-même, l'homme qui fut pendu après un kidnapping Mossad, ou s'il était scape-goat pour d'autres docteurs qui se présentaient comme "Mengele" parce qu'ils étaient "eine kleine Menge", je l'ignore: les égarements de l'éthique médicale après 1945 laissent craindre le pire) ne sont en aucune façon une bonne cause. La Téléthon ne l'est pas.
Quand à lutter contre le SIDA; il vaut mieux le faire par abstinence ou fidèlité. Je ne soutiens donc pas Sid-action, non plus.
Hans-Georg Lundahl
Bibliothecâ Pompidolianâ
Jour de Ste Viviane l'année
ecclésiastique 2011, c'est à dire
2 décembre 2010 civilement
Voir conditions.
Une bonne cause est par exemple les achats alimentaires ou vestimentaires de la Croix Rouge (je préfère ne pas être impliqué dans les achats de "cet objet odiable vendu en automates devant les pharmacies" - finalement je préfère comme sexe les rélations où cet objet n'a aucune raison d'être, c à d le mariage hétérosexuel).
Une bonne cause est par exemple gagner de quoi loger les nuits Zohra et Hamid dans les auberges de jeunesse, à défaut de les loger chez les sympatiseurs sur sofas, ou encore d'avancer à un marin camérounais les salaires détenus par son capitaine (merci pour me les avoir rappelé, PRÉSENT!).
Une bonne cause est le plantage d'un arbre où l'on souahite finir avec la désertification. Où le soutien donné en des hôpitaux également aux enfants Israëli et Palestiniens, là bas dans la Terre Sainte.
Une bonne cause est ... une bonne cause quoi! Sauf quand il s'agit d'une mauvaise cause. Comme déjà noté, mes compositions ne sont pas là pour aider à faire la quête pour que Messieurs Axel Kahn et Marc Peschanski puissent faire leurs récherches, celui-là sur des cellules souches d'embrya humains , celui-ci sur les neurones des avortés. Les crimes contre l'humanité, style Dr Mengele (s'il a vraiment fait tout lui-même, l'homme qui fut pendu après un kidnapping Mossad, ou s'il était scape-goat pour d'autres docteurs qui se présentaient comme "Mengele" parce qu'ils étaient "eine kleine Menge", je l'ignore: les égarements de l'éthique médicale après 1945 laissent craindre le pire) ne sont en aucune façon une bonne cause. La Téléthon ne l'est pas.
Quand à lutter contre le SIDA; il vaut mieux le faire par abstinence ou fidèlité. Je ne soutiens donc pas Sid-action, non plus.
Hans-Georg Lundahl
Bibliothecâ Pompidolianâ
Jour de Ste Viviane l'année
ecclésiastique 2011, c'est à dire
2 décembre 2010 civilement